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« Grâce aux camps Roeland, j’ai plus confiance en moi et j’ose davantage m’exprimer »

Amoureuse de la Grande-Bretagne, Serafien rêve de pouvoir un jour étudier à Oxford ou à Cambridge. Pour permettre à leur fille de goûter à la culture typiquement britannique, ses parents ont décidé de l’inscrire au séjour linguistique British Fun. Une aventure inoubliable qui ne demande qu’à être renouvelée.

« Mon papa aussi est parti en camp en Angleterre avec Roeland il y a de ça 35 ans. Quand je lui ai dit que j’aimerais étudier un jour à Oxford, cela a fait ressurgir de vieux souvenirs. Sur Google, on a vu que Roeland organisait toujours le même camp que celui auquel il avait participé. Et quelques mois plus tard, j'ai fait mes bagages pour le camp British Fun, qui se déroulait dans une école privée typiquement anglaise à Sutton », poursuit Serafien.

« Ce camp l’a complètement séduite », confie sa maman. « Mais mon mari et moi avons d'abord décidé de l'inscrire au stage de français Inspir’Action, qui se déroulait pendant les vacances de Pâques près de Bruxelles. Ce camp ne durait que 5 jours ; nous voulions nous assurer que Serafien trouverait ses marques facilement en camp. Cela s’est avéré être une expérience fantastique. Nous pouvions donc laisser partir Serafien pour une période plus longue en Angleterre, le cœur léger. »

« Serafien a même eu besoin d’un certain temps pour atterrir après son premier camp. Les jours suivants, nous avons remarqué qu'elle était un peu perdue à la maison. Elle était un peu triste. L'ambiance, les animateurs et ses amis lui manquaient. Dès que l’opportunité de la réinscrire à un camp s’est présentée, nous n’avons pas hésité. »

Tu participes aussi bien à des séjours linguistiques en anglais qu’en français. Il y a une raison à cela ?

Serafien : « J'adore les langues. D’ailleurs, j'étudie les langues modernes. J'adore apprendre lors des camps ; c’est tellement intéressant. »

Sa maman : « Elle s'exprime très facilement en anglais, surtout. Mais en français, elle est encore un peu hésitante. C'est pourquoi nous avons décidé de l'inscrire aux deux camps. Les séjours linguistiques d’anglais ne représentent pas un réel défi pour elle, mais pour ceux en français, elle doit sortir de sa zone de confort. C’est un bon compromis, selon nous. »

Serafien : « J’ai plus confiance en moi et j’ose davantage m’exprimer. Les enseignants ont également remarqué mon évolution. Je sais ce dont je suis capable, car pendant le camp, j'ai passé des journées entières à parler dans l'autre langue. J'ai appris qu’on est capable de bien plus que ce que l'on pense. »

Nous avons également entendu dire que tu as obtenu de super résultats lors du concours Olyfran organisé au sein des écoles. Tu peux nous en dire plus ?

Serafien : « L'an dernier, j'ai reçu une attestation de lauréate d'Olyfran, car mes résultats se situaient parmi les 10 % des meilleurs de Flandre. »

Sa maman : « Dans toutes les écoles flamandes, les élèves peuvent participer aux Olympiades de français, Olyfran. Serafien avait déjà participé l'année précédente, mais elle avait obtenu des résultats plutôt moyens. L'an dernier, ses résultats s'étaient donc nettement améliorés. Recevoir l’attestation de “lauréate” a vraiment boosté sa confiance en elle. »

Quel est ton meilleur souvenir de camps jusqu'à présent ?

Serafien : « Les amitiés qui se créent. Je me suis fait de nouveaux amis avec qui je suis restée en contact. Dans le passé, j’ai participé à d’autres camps avec d’autres organisations. C'était sympa, mais je n’ai jamais lié aucune amitié durable. Avec Roeland, bien. »

Quels conseils donnerais-tu aux enfants et aux jeunes qui hésitent à partir en séjour linguistique ?

Serafien : « L’aspect linguistique joue évidemment un rôle important pendant les camps, mais on ne le ressent pas de cette façon. On joue à des jeux, on fait du sport, on part en excursion… On s’amuse beaucoup, tout simplement. Et je trouve cela logique de parler uniquement dans la langue étrangère. Si on parle dans notre langue maternelle dans la chambre ou pendant les pauses, une demi-heure plus tard, on oublierait tout ce qu’on vient d’apprendre. Ce serait vraiment dommage. »